Conférence de classification d'Alison Brabec

Monday, October 7, 2019 12:15-14:00, Hôtel Royal
Speaker(s): Alison Brabec

Depuis juin dernier, Alison Brabec-Kolesnikov assume, au sein du Rotary Club Genève-Palais Wilson, la fonction stratégique de secrétaire. Membre du club depuis 18 mois, il était temps qu’elle présente sa conférence de classification (sous la rubrique « Mobilier et art décoratif ») devant un public plus fourni que de coutume.

Comme son patronyme ne le laisse pas forcément soupçonner, Alison est de souche bretonne (« bretonne avant d’être française », dit-elle). Elle est aussi fille d’ostréiculteur. 

Voici déjà 17 ans (la moitié de sa vie !) qu’Alison fait partie de la famille rotarienne. Profitant de l’affiliation de son père, elle a pu se rendre encore adolescente sur la côte est des Etats-Unis dans le cadre d’un échange rotarien. C’est là qu’elle a fait connaissance d’Interact et a appris à se mettre au service de la communauté. De retour à la maison, elle a créé en 2001 le premier club Interact de France. Quatre ans plus tard, étudiante en droit à Rennes, elle a relancé avec quelques amis le club Rotaract local qui s’était assoupi. Il est donc logique qu’elle ait poursuivi sur sa lancée, à son arrivée à Genève, en rejoignant le Rotaract de notre ville en 2015.

Mais retournons à Rennes. Le droit ne faisant plus rêver Alison, elle s’est alors orientée sur le commerce et le marketing (non sans quelques escales sur les marchés bretons pour vendre les huitres paternelles et celles de la concurrence). C’est ensuite à Paris qu’elle s’est initiée à l’industrie du luxe et à la joaillerie, qui l’a menée Genève, ville où elle a décidé de s’installer et de fonder une famille. Elle y a aussi créé le site de commerce en ligne Be Vinsign (https://www.bevinsign.com), qui réunit trois métiers : les antiquités, la brocante et le design. Alison s'engage enfin, aux côtés d’un autre rotarien (Jean-Fred Bourquin, RC Genève-Lac), dans l’association Projets d’avenir, qui promeut les métiers d’art auprès des plus jeunes.

Michel Dérobert